Catégorie : PODCAST

Le biais d’hypothèse du monde juste

Retrouvez l’épisode 8 du podcast Les Biais Dans Le Plat sur Spotify, Amazon Prime, Deezer.

Bienvenue dans Les Biais Dans Le Plat, le podcast qui vous aide à décoder les biais cachés qui influencent notre perception, nos choix et nos interactions. 

Aujourd’hui, dans Les Biais Dans Le Plat, on plonge dans ce biais qui nous pousse  à voir le monde sous un prisme simpliste et… souvent erroné : le biais d’hypothèse du monde juste. Préparez-vous à découvrir comment cette illusion de justice façonne notre vision du monde.
Qu’est-ce que le biais d’hypothèse du monde juste ?
Le biais d’hypothèse du monde juste repose sur l’idée que nous vivons dans un monde où chacun reçoit ce qu’il mérite. En d’autres termes : « Les gens bien réussissent, et les mauvaises actions finissent toujours par se retourner contre leurs auteurs. »
C’est une vision réconfortante, mais malheureusement, la réalité est bien plus complexe.

Pourquoi ce biais existe-t-il ?

  1. Un besoin de contrôle :
    Nous voulons croire que le monde est prévisible et maîtrisable. Adopter l’idée d’une justice universelle nous aide à gérer notre peur de l’inconnu.
  2. Réduction de la dissonance cognitive :
    En attribuant la responsabilité aux victimes ou aux perdants, nous évitons de 

Les dangers du biais d’hypothèse du monde juste

  1. Un manque d’empathie :
    Ce biais nous pousse à minimiser la souffrance des autres, en pensant qu’ils l’ont méritée.
  2. Des jugements injustes :
    Nous attribuons les échecs aux individus eux-mêmes, plutôt qu’aux contextes ou systèmes dans lesquels ils évoluent.
  3. Un frein à la solidarité :
    Si nous croyons que chacun a ce qu’il mérite, pourquoi aiderions-nous ceux qui traversent des difficultés ?

Comment surmonter ce biais ?

  1. Reconnaître ses propres jugements :
    La prochaine fois que vous pensez : « Il/elle l’a bien cherché, » demandez-vous quels facteurs extérieurs pourraient expliquer la situation.
  2. Cultiver l’empathie :
    Essayez de vous mettre à la place des autres et imaginez ce qu’ils ont pu traverser. 
  3. Élargir votre perspective :
    Informez-vous sur les inégalités et les systèmes qui influencent nos vies. Vous réaliserez que beaucoup de situations échappent au contrôle individuel.

Conclusion : Surmonter le biais d’hypothèse du monde juste et une invitation à voir au-delà de la simplicité

Le biais d’hypothèse du monde juste nous donne une illusion de contrôle et de sécurité, mais il peut aussi nous rendre aveugles à la complexité de la réalité. En le reconnaissant, nous pouvons devenir plus justes dans nos jugements et plus solidaires dans nos actions.

Et vous ?
Avez-vous déjà été victime ou témoin de ce biais dans votre vie quotidienne ? 

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Le biais de l’angle mort

Retrouvez l’épisode 7 du podcast Les Biais Dans Le Plat sur Spotify, Amazon Prime, Deezer.

Introduction : L’évidence que l’on ne voit pas

Bienvenue dans Les Biais Dans Le Plat, le podcast qui vous aide à identifier les biais cachés qui influencent nos perceptions, nos décisions et nos interactions.

Le sujet du jour : le biais de l’angle mort, cette petite ruse de notre cerveau qui nous pousse à croire que nous sommes rationnels et objectifs… contrairement aux autres ! Nous explorerons également deux concepts proches : le réalisme naïf et l’illusion d’introspection. Ensemble, ils colorent nos jugements de manière souvent invisible.

Définition : Qu’est-ce que le biais de l’angle mort ?

Le biais de l’angle mort désigne notre incapacité à reconnaître nos propres biais cognitifs, tout en identifiant aisément ceux des autres. Nous pensons voir la réalité telle qu’elle est, alors qu’en vérité, nos perceptions sont souvent influencées par nos propres angles morts.

Illustration :

Imaginez une réunion où vous jugez votre collègue têtu et incapable de comprendre votre point de vue. Vous êtes certain(e) d’être impartial(e), alors qu’en réalité, vos propres croyances biaisent votre interprétation de la situation.

Un lien avec le réalisme naïf :

Le réalisme naïf nous pousse à croire que notre vision des choses est la seule correcte. Ainsi, si quelqu’un est en désaccord avec nous, c’est forcément qu’il est biaisé ou mal informé.

Pourquoi ce biais existe-t-il ?

Ce biais découle en grande partie de l’illusion d’introspection. Nous croyons comprendre parfaitement nos propres pensées et motivations, car nous avons un accès direct à notre esprit. Pourtant, nos décisions sont souvent influencées par des processus inconscients.

Illustration :

Quand vous êtes stressé(e) et que vous vous énervez, vous justifiez votre réaction par le contexte : « C’est normal, je suis sous pression. » Mais quand une autre personne s’énerve, vous concluez qu’elle manque de maîtrise.

Origine du biais de l’angle mort :

  • Évolution cognitive : Reconnaître nos biais demande un effort cognitif supplémentaire, alors que notre cerveau favorise les décisions rapides.
  • Cognition sociale : Nous avons tendance à juger les autres plus sévèrement que nous-mêmes pour renforcer notre propre estime.

Conséquences : Pourquoi le biais de l’angle mort est problématique

  1. Conflits inutiles :
    Si nous sommes convaincus que seuls les autres sont biaisés, il devient difficile de trouver un terrain d’entente dans nos relations.
  2. Mauvais choix :
    Ne pas reconnaître ses propres biais peut mener à des décisions mal informées ou à des jugements erronés.
  3. Blocages en entreprise :
    Ce biais limite la capacité à entendre des perspectives nouvelles et freine les discussions constructives.

Solutions : Comment surmonter le biais de l’angle mort ?

  1. Reconnaître qu’il nous concerne tous :
    La première étape est d’accepter que personne n’est totalement objectif, pas même nous.
  2. Pratiquer l’introspection :
    Posez-vous la question : « Et si je faisais exactement la même chose sans m’en rendre compte ? »
  3. Écouter les autres :
    Sollicitez les retours d’autrui pour identifier vos propres angles morts.
  4. Accepter les perspectives opposées :
    Enrichissez votre compréhension en discutant avec des personnes qui ne partagent pas votre point de vue.

Conclusion : Apprivoiser ses angles morts

Le biais de l’angle mort nous invite à davantage d’humilité et de curiosité dans nos interactions. Plutôt que de juger rapidement les autres, commençons par interroger nos propres perceptions.Et vous ?
Vous est-il déjà arrivé de réaliser après coup que vous aviez un angle mort dans une situation ? Partagez vos expériences dans les commentaires ou écrivez-moi, j’adorerais découvrir vos anecdotes !

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Illusion de transparence et effet de projecteur

Retrouvez l’épisode 6 du podcast Les Biais Dans Le Plat sur SpotifyAmazon PrimeDeezer

Introduction : 5 minutes pour comprendre que NOUS ne sommes pas le centre de LEUR monde !

Aujourd’hui, nous plongeons dans un univers où chacun de nous est, à tort, persuadé d’être le centre de l’attention. C’est parti pour explorer deux biais fascinants : l’illusion de transparence et l’effet de projecteur.

L’illusion de transparence et l’effet de projecteur, kézako ?

Commençons par les bases. L’illusion de transparence, c’est cette conviction que nos pensées et émotions sont visibles aux autres, comme si nous étions un livre ouvert. Quant à l’effet de projecteur, il nous pousse à croire que nous sommes constamment sous le regard critique de ceux qui nous entourent. Vous avez déjà eu l’impression que tout le monde remarquait votre stress avant une présentation ou que votre tenue un peu trop colorée faisait jaser ?

Prenons un exemple concret : lors d’une réunion, vous trébuchez sur un mot en parlant. Votre cerveau s’emballe : « Tout le monde a vu que j’ai paniqué, c’est fichu, je suis ridicule ! » En réalité, vos collègues étaient probablement en train de penser à leur prochain rendez-vous ou à ce qu’ils allaient manger à midi. Ces biais exagèrent notre importance perçue dans l’esprit des autres.

Mais pourquoi ces biais existent-ils ?

Ces biais trouvent leur origine dans notre nature humaine. Depuis toujours, nous vivons dans notre propre bulle, hyper concentrés sur nous-mêmes. Le problème ? Notre cerveau en déduit que les autres nous observent avec la même intensité. Spoiler (encore) : ils n’en ont pas le temps, occupés qu’ils sont à… penser à eux-mêmes.

Historiquement, ce phénomène aurait pu avoir une utilité. À l’époque préhistorique, capter l’attention de son groupe ou anticiper les réactions d’autrui pouvait être crucial pour la survie. Aujourd’hui, dans nos sociétés modernes, ces mécanismes restent en veille et peuvent nous jouer des tours. Ajoutez à cela que nos codes de communication sont façonnés par notre environnement et nos expériences, et vous obtenez un cocktail parfait pour les malentendus.

Et les conséquences dans notre quotidien ?

  • Dans la vie personnelle, croire que nos émotions sont visibles peut nous rendre plus vulnérables.
  • Au travail, quand nous maîtrisons un sujet, nous avons du mal à imaginer que d’autres ne comprennent pas ce qui nous paraît évident.
  • Et sur les réseaux sociaux, l’effet de projecteur explose : nous sommes persuadés que chaque détail de nos publications est scruté, analysé, jugé.

Alors, comment surmonter ces biais ?

Heureusement, il existe des astuces pour ne plus tomber dans ces pièges cognitifs.

  • Développez votre empathie. 
  • Réduisez vos projections. 
  • Clarifiez vos messages. 
  • Relativisez vos erreurs.

Conclusion : Nous sommes les stars de notre propre film

Rappelez-vous : nous sommes tous les stars de notre propre film, MAIS cela ne signifie pas que les autres spectateurs regardent exclusivement notre rôle. L’illusion de transparence et l’effet de projecteur sont des biais universels. Apprendre à les reconnaître, c’est déjà un grand pas vers une vie plus sereine. Et la prochaine fois que vous trébuchez sur un mot ou que vous croyez que tout le monde analyse votre tenue, dites-vous simplement : « Spoiler alerte : ils ne l’ont probablement même pas remarqué ! »

Et vous, quels moments de votre vie avez-vous amplifiés à cause de ces illusions ? Partagez vos anecdotes !

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Comprendre la cécité d’inattention et le biais d’attention

Retrouvez l’épisode 5 du podcast Les Biais Dans Le Plat sur Spotify, Amazon Prime, Deezer

Introduction : La cécité d’attention et le biais d’attention – Nous voyons… ce que nous cherchons

Dans cet épisode, nous explorons comment notre cerveau, en étant hyper focalisé sur une tâche ou une idée, peut nous amener à occulter totalement une partie de la réalité. C’est ce qu’on appelle la cécité d’inattention et le biais d’attention.

Rappel : Notre cerveau est une machine de tri ultra-performante. Sur 11 millions d’informations perçues par seconde, il en traite consciemment seulement 40, en filtrant selon nos priorités immédiates. Mais ce filtre, s’il nous protège de la surcharge, peut aussi nous aveugler de certaines évidences.

Les éléments clés que je vous explique : 

Qu’est-ce que la cécité d’inattention ?

Idée clé : Nous manquons des éléments évidents si nous portons notre attention ailleurs.

Exemple : Dans l’expérience du gorille invisible, 50 % des participants n’ont pas remarqué un gorille traversant la scène, trop concentrés sur le comptage des passes d’un ballon. Ce biais montre à quel point notre cerveau filtre l’information.

Pourquoi ce biais existe-t-il ?

Idée clé: Ce mécanisme est une adaptation ancestrale pour notre survie.

Nos ancêtres, confrontés à des dangers, devaient se concentrer sur ce l’essentiel : un bruit suspect dans les buissons, pas les fleurs qui l’entouraient. Aujourd’hui, ce même filtre agit dans nos vies modernes, mais il peut masquer des éléments importants.

La cécité d’inattention et le biais d’attention – Quelles sont les conséquences de ces bais au quotidien ?

Idée clé : Ce biais peut entraîner des erreurs ou des manques dans tous les domaines.
Exemples :

  • En voiture : ignorer un piéton car on est concentré sur le GPS.
  • Au travail : ne pas remarquer un problème critique dans un projet parce qu’on est absorbé par un détail.
  • Dans la vie personnelle : manquer les émotions d’un proche pendant une discussion.

Comment élargir notre attention ?

Idée clé : Quelques techniques simples peuvent limiter les effets de ce biais :

  • Pleine conscience : Prenez le temps d’observer ce qui vous entoure sans jugement.
  • Ralentir : Une attention précipitée amplifie le biais.
  • Collaboration : Impliquez d’autres perspectives pour détecter ce que vous pourriez manquer.

Conclusion : Ce que vous ne voyez pas peut changer votre perception

Idée clé : Être conscient de la cécité d’inattention, c’est déjà faire un pas pour mieux voir le monde. Alors, demandez-vous : qu’est-ce que je ne remarque pas en ce moment, parce que je suis concentré ailleurs ?

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5 minutes pour comprendre l’effet Dunning-Kruger

Retrouvez l’épisode 4 du podcast Les Biais Dans Le Plat sur Spotify, Amazon Music ou Deezer.

Introduction : Démystifier l’effet Dunning-Kruger

Dans cet épisode, je vous propose de comprendre un biais cognitif fascinant : l’effet Dunning-Kruger. Ce phénomène explique pourquoi certaines personnes, malgré un manque de compétences, se perçoivent comme des experts, tandis que d’autres, plus compétentes, doutent de leurs capacités. Comprendre ce biais est essentiel pour améliorer notre auto-évaluation et nos interactions professionnelles.

Comprendre l’effet Dunning-Kruger

L’effet Dunning-Kruger, identifié par les psychologues David Dunning et Justin Kruger en 1999, révèle que les individus moins compétents dans un domaine ont tendance à surestimer leurs capacités. Cette surestimation découle de l’incapacité à reconnaître leurs propres lacunes, faute des compétences nécessaires pour évaluer objectivement leur performance.

Pourquoi ce biais est-il si répandu ?

Deux mécanismes expliquent la prévalence de l’effet Dunning-Kruger :

  1. L’ignorance des ignorants : Les novices ne savent pas ce qu’ils ne savent pas, ce qui les conduit à surestimer leurs compétences.
  2. L’effet de compétence croissante : À mesure que l’on acquiert de l’expérience, on prend conscience de l’étendue de ce qu’il reste à apprendre, ce qui peut mener à une sous-estimation de ses capacités.

Conséquences et dangers

L’effet Dunning-Kruger peut avoir des répercussions significatives :

  • Dans la vie quotidienne : Une personne persuadée de pouvoir réparer une fuite d’eau sans compétence peut aggraver le problème.
  • Sur les réseaux sociaux : Ces plateformes sont propices à l’émergence d’experts autoproclamés, souvent sans vérification.
  • Dans le milieu professionnel : Des employés surconfiants peuvent prendre des décisions risquées sans consulter leurs collègues plus expérimentés.

Comment surmonter l’effet Dunning-Kruger ?

Bien que ce biais soit courant, il est possible de le contrer :

  • Reconnaître ses limites,
  • Rechercher des retours constructifs,
  • Apprendre en continu,
  • Faire preuve d’humilité.

Il est important de noter que certaines personnes affectées par l’effet Dunning-Kruger ne sont pas conscientes de leurs lacunes. Les amener doucement mais fermement vers une prise de conscience est bénéfique pour elles et leur entourage.

Conclusion : tu respecteras ce que tu ignores !

L’effet Dunning-Kruger nous rappelle que ce que nous savons est souvent bien peu de choses face à ce que nous ignorons. La clé pour progresser réside dans la reconnaissance de nos lacunes, la curiosité et l’apprentissage continu.

Et vous, avez-vous déjà surestimé vos compétences dans un domaine ? Ou au contraire, vous êtes-vous sous-estimé face à un expert ?

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Passer du syndrome de l’imposteur à entrepreneur en 5 minutes

Retrouvez l’épisode 3 du podcast Les Biais Dans Le Plat sur spotify, amazon music ou Deezer

Introduction : Passer sur syndrome de l’imposteur à l’entrepreneur : un parcours personnel

Dans cet épisode, j’aborde un sujet intime et puissant : le passage de l’imposteur à l’entrepreneur, un chemin que j’ai moi-même parcouru. Il m’aura fallu 47 ans pour faire le saut, mais je refuse que ce parcours soit aussi long pour vous.

Comme beaucoup de femmes de ma génération, j’ai avancé en suivant des chemins bien tracés : études, carrière, mariage, enfants. Pendant 20 ans, j’ai occupé des postes à responsabilité dans de grandes entreprises, pilotant des équipes et des projets ambitieux. Une belle vie, une belle carrière, mais quelque chose manquait : ce travail ne reflétait plus mes aspirations profondes.

Dans cet épisode, je partage les réflexions et les étapes concrètes qui m’ont permis de surmonter ce fameux syndrome de l’imposteur pour enfin bâtir un projet entrepreneurial personnel et enrichissant. Et je vais vous expliquer comment faire de même !

Comprendre le syndrome de l’imposteur pour mieux le dépasser

Ce biais, qui nous pousse à douter de nous et à minimiser nos réussites, naît souvent de notre besoin de validation extérieure. Je vous propose un exercice simple pour identifier ce biais : si vous commencez souvent vos phrases par “j’ai eu la chance de…”, vous êtes probablement touché par le syndrome de l’imposteur !

J’ai moi-même longtemps dit “j’ai eu de la chance” avant de réaliser que la chance n’avait rien à voir dans mes réussites. J’ai pris un papier, un crayon et j’ai listé toutes mes réalisations et compétences. Ce moment fut un déclic, une preuve écrite que mon parcours était le fruit de mes propres efforts et capacités.

Trouver votre moment déterminant – Votre “Why?”

Je partage également mon propre déclic, qui s’est produit en 2022, lorsque j’ai décroché un poste de rêve : directrice d’un programme stratégique de grande envergure. Pourtant, au bout de quelques mois, j’ai réalisé que ce que je voulais vraiment ne correspondait plus aux attentes de cette entreprise. Ce fut une période de désillusion, mais aussi de lucidité. J’ai compris qu’il était temps pour moi de créer quelque chose d’authentique, aligné avec mes valeurs.

Les étapes pour avancer vers l’entrepreneuriat sans s’en rendre compte

On imagine souvent l’entrepreneuriat comme un grand saut dans le vide, mais ce n’est pas forcément le cas. Dans cet épisode, je vous explique comment avancer à petits pas, en construisant votre projet sans la pression de “l’idée géniale”. Mon parcours m’a appris qu’il suffit de trois étapes simples pour se lancer :

  1. Chercher des méthodes : Lisez, apprenez des expériences d’autres entrepreneurs, nourrissez votre curiosité.
  2. Se donner les moyens : Privilégiez vos choix et non vos contraintes, accordez du temps à vos priorités.
  3. Fixer des priorités SMART : Avancez étape par étape avec des objectifs Simples, Mesurables, Accessibles, Réalistes, et Tenables.

En fin de compte, le syndrome de l’imposteur peut être un signal : il révèle que vous avez déjà une valeur unique à apporter, qu’il est temps de mettre en lumière. Cet épisode vous invite à repenser vos accomplissements, non pas pour valider ce que vous valez aux yeux des autres, mais pour construire quelque chose de personnel, quelque chose qui vous ressemble vraiment.

Écoutez cet épisode pour découvrir comment prendre confiance en vos compétences et devenir l’entrepreneur de votre propre vie.

Merci d’avoir écouté cet épisode de Les Biais Dans Le Plat. Si vous souhaitez en savoir plus sur les sujets que j’aborde ou partager votre propre expérience, laissez-moi un message ! Et si cet épisode vous a aidé, pensez à le partager pour inspirer ceux qui hésitent encore à franchir le pas. À très bientôt pour de nouveaux décodages de nos biais !

En savoir plus :

6 minutes pour comprendre les biais cognitifs

Retrouvez l'épisode 2 du podcast Les Biais Dans Le Plat sur spotify, Amazon Prime ou Deezer

Dans cet épisode, vous découvrirez que notre cerveau est conçu pour prendre des raccourcis, priorisant la rapidité et l’efficacité à la précision. Cela explique pourquoi, même armés de bonne volonté, nous tombons dans les pièges du jugement et des stéréotypes. En m’appuyant sur des exemples concrets et des anecdotes, je tiens à vous présenter comment ces biais cognitifs peuvent nous faire douter de nous-mêmes. Comment ils peuvent nous rendre parfois injustes. Ou encore comment ils peuvent fausser notre perception des autres.

Les biais cognitifs, l’artefact ultime de notre cerveau pour servir ses propres objectifs !

Imaginez-vous, par exemple, dans une réunion où une collègue compétente et brillante doute de sa performance, se demandant si elle mérite réellement sa place. Elle est victime du syndrome de l’imposteur, un biais qui, comme tant d’autres, s’invite dans nos vies de manière insidieuse. Cet épisode vous invite à réfléchir sur la façon dont les biais façonnent notre image de nous-mêmes et des autres, influençant nos émotions et nos décisions.

Je vous propose d’aller au-delà de la simple analyse théorique. Je vous partage des pistes pour mieux comprendre et apprivoiser nos biais. Prendre conscience de ces mécanismes pour reprendre le contrôle sur nos pensées et nos interactions.

Alors, êtes-vous prêt à décoder les mécanismes cachés de votre propre esprit ? Ce podcast est une invitation à un voyage introspectif ludique. Je vous propose de partir à la découverte de vous-même et des subtilités de votre pensée. Je vous offre un outil pour quiconque souhaite se libérer de ses biais. Si vous voulez développer une vision plus juste et apaisée du monde vous êtes au bon endroit.

En savoir plus : 

N’hésitez pas à m’indiquer, en commentaire, les thèmes que vous souhaitez que j’aborde dans mes prochains épisodes.

Pourquoi créer un site et un podcast sur le biais cognitifs ?

Retrouvez l'épisode 1 du podcast Les Biais Dans Le Plat sur Spotifiy, Amazon Prime, Deezer

Dans ce premier épisode, je vous propose de vous expliquer pourquoi j’en suis arrivée à créer ce site et ce podcast sur les biais cognitifs.

Si comme moi quelque chose qui vous gêne dans vos relations avec les autres ? Mais vous ne savez pas dire quoi ? Si comme moi vous avez fini par conclure que c’est vous qui ne devez pas être adapté. Que vous êtes sûrement TROP exigeant… TROP insatisfait…

Vous êtes au bon endroit !

J’ai fini par accepter que mon problème est que je n’aime pas les problèmes. Ou plutôt que je les aime trop. J’aime les débusquer – où qu’ils soient – et j’aime leur trouver des solutions : simples, rapides et efficaces. Je le sais aujourd’hui : À chaque « douleur », son problème et à chaque problème sa solution. C’est ça que je veux vous transmettre ! Et je vous explique comment je suis arrivée à cette révélation dans ce premier épisode de mon podcast.

Pourquoi créer un site et un podcast sur les biais cognitifs ?

La question est légitime, et dans ce premier épisode, je partage avec vous l’histoire derrière ce projet qui m’est cher.

Nous vivons dans un monde où les interactions sociales, professionnelles et personnelles résultent de mécanismes souvent invisibles : les biais cognitifs. Ces distorsions de pensée façonnent nos jugements et décisions, parfois à notre insu. C’est un constat qui m’a longtemps perturbée, notamment dans le cadre du travail.

Pourquoi, malgré de nombreuses compétences et efforts, sentons-nous encore ce plafond de verre nous retenir ? Pourquoi certaines idées brillantes passent-elles inaperçues simplement à cause de qui les propose ?

Ces questions, et tant d’autres, m’ont menée à cette réalisation : il fallait agir. Il fallait comprendre.

Des frustrations à la réflexion

Si, comme moi, vous vous êtes déjà demandé pourquoi certaines relations ou situations professionnelles vous laissent un goût amer, sachez que vous n’êtes pas seul(e). Pendant longtemps, je pensais que j’étais trop exigeante, trop insatisfaite. Mais en creusant, j’ai découvert que mes ressentis venaient souvent de mécanismes bien identifiés. Ces fameux biais cognitifs et sociaux.

Prenons un exemple tiré de l’article détaillé sur « Femmes au travail : percez les secrets et brisez le plafond de verre ». Pourquoi, dans les réunions, coupe-t-on souvent la parole aux femmes ? Pourquoi certaines femmes, bien que qualifiées, hésitent à demander une promotion ? Ces comportements ne sont pas anodins. Ils résultent des biais de genre et des stéréotypes profondément ancrés.

L’idée derrière « Les Biais Dans Le Plat »

L’objectif de ce site et de ce podcast est de fournir des clés pour :

  1. Identifier les biais cognitifs qui nous freinent.
  2. Apprendre à les contourner pour évoluer dans un monde plus inclusif et efficace.
  3. Partager des solutions pratiques applicables au quotidien, au travail comme à la maison.

Pourquoi créer un site et un podcast sur les biais cognitifs ? Parce que comprendre ces mécanismes, c’est déjà reprendre le contrôle. Chaque situation, chaque relation peut être améliorée si nous apprenons à détecter les schémas invisibles qui influencent nos pensées.

Une révélation personnelle

J’ai créé « Les Biais Dans Le Plat » parce que je crois profondément que chaque problème a une solution. Mais cette solution commence par la prise de conscience. À chaque douleur, son problème. Et à chaque problème, sa solution. C’est cette philosophie qui anime mes écrits, mes podcasts et chaque initiative sur ce site.

Que vous soyez confronté(e) à un plafond de verre, à des jugements biaisés, ou simplement curieux(se) de mieux comprendre votre cerveau, ce site est fait pour vous. Ensemble, nous pouvons apprendre à débusquer ces biais et à vivre plus librement, sans être prisonniers de schémas inconscients.

Retrouvez cet épisode sur Spotify et plongez dans cette réflexion qui, je l’espère, saura éveiller en vous un déclic. Parce qu’après tout, pourquoi créer un site sur les biais cognitifs, sinon pour faire tomber les barrières et construire un avenir meilleur ?

Explorez l’article complet Femmes au travail : percez les secrets et brisez le plafond de verre et laissez un commentaire sur vos propres expériences.